avocat

   Domaines d’intervention

  • Droit de la responsabilité pour des infractions non-intentionnelles
  • Droit pénal des affaires et droit pénal du travail
  • Santé, hygiène et sécurité
  • Droit de la réparation et des préjudices
  • Responsabilité en matière de construction
  • Environnement
  • Droit des contrats
  • Contentieux commerciaux, droit des sociétés
  • Propriété littéraire et artistique

   Parcours

  • Associée fondatrice du cabinet d’avocats Guynemer depuis 2013
  • Associé chez Soulez Larivière & Associés (1998-2013)
  • Collaboratrice au sein du cabinet Soulez Larivière & Associés (1990-1998)
  • Collaboratrice au sein de la S.C.P. Lyon-Caen, Fabiani, Liard, Thiriez (1984-1990)

   Formation

  • Avocat au Barreau de Paris depuis 1986
  • D.E.A. de droit des affaires, Université de Paris-I (1982)
  • Maitrise Carrières judiciaires, Université de Paris-I (1981)
  • Licence de droit privé, Université de Lyon-III (1980)

Chantal Bonnard, Avocat à la Cour

Avocat depuis 1986, Chantal Bonnard a exercé auprès d’un cabinet d’avocats aux conseils, la SCP Lyon-Caen, Fabiani, Liard, Thiriez. Elle y a acquis une rigueur indispensable au métier d’avocat.

En 1990, elle intègre le cabinet d’avocats à la Cour Soulez Larivière & Associés et est rapidement cooptée comme associée. Pendant plus de vingt ans, Chantal va se pencher sur des dossiers d’envergure, principalement en droit pénal des affaires, pour le compte de grands groupes industriels. Elle est par exemple intervenue dans les dossiers de l’Erika et d’AZF, et intervient dans les affaires d’amiante devant toutes les juridictions.

Forte de cette expérience, elle décide de fonder en 2013 une structure dédiée aux risques environnementaux et industriels : le Cabinet Avocats Guynemer.

Verbatim…

« J’ai commencé ma carrière comme collaboratrice d’avocats aux conseils. Là-bas, on y apprend la rigueur et l’écriture du droit. En traitant des questions de droit pur, on apprend ainsi la véritable réflexion juridique. Avec la précision, l’analyse complète, l’approfondissement, le sens du détail du droit, la synthèse de l’antériorité…»

« L’expérience du cabinet d’avocats à la Cour m’a, elle, appris la défense, la plaidoirie et la prise directe avec le réel. Être avocat à la Cour me permet de retrouver le terrain et la réalité vécue par les opérationnels. »

« Être avocat, c’est aussi être un auxiliaire de justice donc d’une institution qui doit fonctionner correctement. Ce qui me motive, c’est d’agir pour que les choses aient un sens. La Justice, cela a un sens ! »

« L’avocat ne peut se contenter de réciter des articles de loi - ce que d’ailleurs nous ne faisons pas. Nous devons comprendre la façon dont chaque texte s’adapte ou non à une situation juridique donnée par la réalité de l’entreprise par exemple ».